PsychCentral.com a lancé un nouveau blog sur l’image du corps appelé Weightless. Extrait de la description du site :
L’apesanteur, c’est le bien-être, pas le poids ; c’est favoriser l’image corporelle, quelle que soit votre taille. Il s’agit de dénoncer les magazines féminins, les autres médias et les soi-disant experts, lorsqu’ils vantent des conseils malsains et promeuvent des normes restrictives.
Quel est le but du blog ?
Le but d’Apesanteur est d’aider les femmes à développer une meilleure image de leur corps et à travailler pour s’accepter telles qu’elles sont, tout en étant en bonne santé et heureuses (les régimes à la mode et les normes du skinny-mini sont interdits !) ; et de devenir des consommatrices avisées, capables de décortiquer une publicité ou un article de magazine et de savoir quels conseils sont utiles ou nuisibles.
Dans l’un des premiers billets du site, la rédactrice Margarita Tartakovsky identifie sept signes indiquant que vous souffrez peut-être d’une mauvaise image corporelle et des suggestions pour aider les lecteurs à être moins autocritiques. Dans l’article intitulé « Minding Women’s Magazines : Conseils débiles », Tartakovsky tire des « conseils » de magazines tels que Women’s Health, Self et Cosmopolitan et déconstruit les messages.
En lisant les premières phrases, je me suis retrouvé à hocher la tête en accord – surtout la partie où nous ne devrions pas être obsédés par la nourriture – jusqu’à ce que les jugements de valeur roulent. Alors, que faire si j’apprécie un apéritif de trop lors d’une fête de vacances ? Au lieu de me dire à quel point la nourriture était délicieuse et de reconnaître que j’ai trop mangé et que j’essaierai d’éviter cela la prochaine fois, je devrais me sentir comme un échec ballonné et déçu.
Comme on fait souvent croire aux femmes qu’elles mangent trop à chaque fois qu’elles apprécient leur nourriture, j’aimerais que la réponse s’interroge d’abord sur les raisons pour lesquelles nous pensons avoir franchi la ligne. Pour certaines, trop manger lors d’une fête pourrait signifier consommer plus qu’un minuscule amuse-bouche.